:
" Le bonheur se trouve là où nous le plaçons: mais nous ne le plaçons jamais là où nous nous trouvons. La véritable crise de notre temps n'est sans doute pas l'absence de ce bonheur qui est insaisissable mais la tentation de renoncer à le poursuivre ; abandonner cette quête, c'est déserter la vie."
Maria Carnero de Cunhal
Un bon petit Blog voisin et ami qui sait de quoi il parle en toute franchise et ne se laisse pas compter sornettes, la preuve à lire son dernier billet sur les Zatouilleries de Figuerolles nous enchante car il saisit là bien des vérités pas toujours bonnes à dire dans un climat de consensus mou et de culture(s) galvaudée(s) à faire hurler Philippe Murray.
Car dans ces gesticulations où l'on côtoie le pire et le meilleur, le temporaire de service venu de Marseille (s'il vous plait !) nous fit avaler bien des couleuvres au point que les "Invisibles du quartier" pouvaient commenter à loisir, l'intrusion de leur territoire par les bobos, depuis les places Salengro ou Plan Cabanes.
Il y a bien des leçons à tirer de ces sympathiques glissements et frémissements qui nous ont chatouillé les sens sinon les papilles.
Bravo à tous ceux qui ont joué le jeu des marionnettistes pour un Art de Rue créatif sinon convivial qui était promis en effet par ses concepteurs à un grand succès, avant même le lacement de l'opération.
Quand la COM dépasse ses communicants on est dans ce qu'un veilleur a appelé le "foutage de gueule" mais qu'importe pour 500.000 € l'enthousiasme a côtoyé le délire...