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22 janvier 2016 5 22 /01 /janvier /2016 17:39
Travier
Travier

Portrait et entretien avec le ministre local de la culture du gouvernement Saurel

Georges Frêche voulait faire de la culture le rayonnement de Montpellier. En plaçant de véritables talents aux commandes de nouveaux projets, l’ancien maire a réussi à tirer le maximum des ressources culturelles que pouvait offrir une ville de province. Montpellier Danse, le Corum, le Festival de Radio France, la rénovation du musée Fabre ont attiré des pointures comme Dominique Bagouet, Jean-Paul Montanari, René Koering ou Michel Hilaire.
Les temps ont changé, les budgets ont évolué, une époque est passée… Comment réinventer une autre façon de produire de l’offre culturelle dans cette période de crise économique ? Tel est le défi de Philippe Saurel, le maire de Montpellier, qui, sous Hélène Mandroux, a occupé le poste d’adjoint en charge de la culture.
Après une première année de mandat houleuse sur ce secteur, Philippe Saurel affirme sa volonté de faire du musée de l’art contemporain, à l’hôtel Montcalm, sa grande réussite. Il tente aussi des coups en recrutant deux noms reconnus pour la Panacée et la prochaine ZAT (Zone artistique temporaire). Hormis ces projets, à court et moyen terme, la vision culturelle de la collectivité ne semble pas toujours très claire, à la fois pour le grand public et les professionnels du secteur.
Pour l’accompagner dans ce mandat, l’édile a choisi Bernard Travier, qu’il a même renforcé en 2015. Problème, la défiance envers l’élu ne cesse de progresser. Il parvient difficilement à exister et ne semble guère participer à l’élaboration d’une vision politique et culturelle. Absence de créativité, de propositions, Bernard Travier a même hérité du titre d’« élu fantôme ».

Extrait de l'Agglo Rieuse (Janvier 2016)

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